C’est (enfin) le Printemps 🌱🌸 Profitez de la Livraison Standard offerte sur tout le site avec le code SPRING24 (code applicable au niveau du panier)

Ruinart

Dom Ruinart Blanc de Blancs 2010 étui Craie Bouteille (0.75L) | Étui

Champagne d’exception, hommage au goût Ruinart, la cuvée Dom Ruinart Blanc de Blancs 2010 étui Craie est un grand vin de Chardonnay. Séveux, concentré, à la fois riche et tendu, il révèle une grande intensité aromatique.

« La combinaison d’un millésime en tension et d’un changement oenologique majeur : le tirage liège » – Frédéric Panaïotis, Chef de Caves de la Maison Ruinart.

269,00 

En stock.Livraison en 5-10 jours
Frais de livraison offerts dès 500€ d'achat Emballage anti-casse soigné Confiez-nous votre message personnalisé lors de la confirmation de commande
Existe aussi en :
Voir tous les produits Champagne Ruinart
    Toujours millésimée, cette cuvée d’exception est née en 1959. Consacrant les plus belles vendanges, Dom Ruinart Blanc de Blancs 2010 étui Craie met à l’honneur le Chardonnay, cépage emblématique de la Maison Ruinart. Ce vin singulier est l’expression des meilleures années où le Chardonnay a su exprimer toute sa complexité et son élégance en conservant une grande fraicheur. Dom Ruinart 2010 marque une étape majeure dans le processus de vieillissement, avec le retour d’une pratique autrefois en usage : le tirage-liège. À la fin des années 1990, guidé par une intuition, le chef de caves décide de laisser vieillir sous liège une partie de la production des flacons de Dom Ruinart 1998. Au lieu des capsules métalliques communément utilisées, il opte pour des bouchons de liège. Puis il laisse comme à son habitude, le temps faire son oeuvre. En 2008, à la dégustation, la différence est significative : les flacons bouchés liège donnent des vins plus tendus avec une couche de complexité supplémentaire. Certes, ce matériau est poreux, mais sur une longue durée, demeure formidablement stable. Plus que la capsule métallique qui laisse de l’oxygène passer de manière constante et régulière tous les ans. La preuve était faite. Les cuvées Dom Ruinart suivantes ont profité de cette connaissance.

    En 2020 Ruinart révolutionnait le packaging, avec l’inédit étui seconde peau, qui enveloppe désormais tous ses flacons. Une innovation au service de l’éco-responsabilité qui aura requis deux ans de recherche et développement. Aujourd’hui une évidence. Là où hier un coffret statutaire faisait sens, cet étui composé de fibres de cellulose, recyclable, s’impose aujourd’hui avec légèreté et élégance.

    L’étui craie, propre à Dom Ruinart, a été conçu dans la continuité de cette innovation. Doux au toucher, velouté comme la craie, il habille ce flacon d’exception. Avec ses reliefs et anfractuosités, il semble avoir été directement taillé dans la roche crayeuse. Il évoque ce lien inaltérable entre Dom Ruinart et la craie, depuis la culture de la vigne sur des sols crayeux, jusqu’au temps du vieillissement des cuvées dans les profondes crayères. Il illustre la richesse des savoir-faire de l’homme.

    Point final : un dernier marquage or apposé à la main lui prodigue son caractère d’exception et sur le bouton d’attache, un 1729 discrètement gravé, clame l’héritage de la Maison Ruinart, première maison de champagne.

    Ainsi présenté, ce champagne d’exception est idéal pour toutes vos grandes occasions et vos cadeaux.
    En savoir plus :
    Le millésime 2010 : C’est un printemps sous le signe de la fraîcheur qui marque le début de ce millésime 2010 avec des températures nettement inférieures à la moyenne décennale. Celle-ci persiste jusqu’au moment de la floraison, entraînant un retard de cinq jours du cycle de la vigne. L’été 2010 commence sous de bons auspices, ni trop chaud, ni trop froid, avec une pluviométrie estivale déficitaire de 25% comparée à la moyenne des dix années précédentes. Tout change à la mi-août alors que les raisins entament leur maturation : des pluies diluviennes (soit l’équivalent de deux mois de pluie) s’abattent sur la Champagne. Les conditions extrêmes de chaleur constante et d’humidité ambiante favorisent le développement du champignon Botrytis cinerea qui s’attaque particulièrement au pinot noir et au meunier. Heureusement, le chardonnay, moins sensible à ce stade, est épargné. Le mois de septembre est plus clément. Les vendanges débutent le 15 septembre et la qualité optimale des chardonnays se maintient jusqu’à la maturité et la fin de la récolte. Lors de la dégustation des vins clairs, les chardonnays de 2010 nous surprennent par leur richesse : cet équilibre dans les altos permet à notre équipe oenologique d’exprimer tout son savoir-faire lors de l’assemblage de ces grands chardonnays.
    À l'oeil

    La robe de ce vin est jaune dorée avec de légers reflets vert d’eau. L’effervescence est fine et persistante.

    Au nez

    Le premier nez présente une note poudrée, florale (Iris) et minérale (roche humide) évoquant l’univers chypré de la parfumerie. Dominent ensuite des notes toastées et épicées : le macis de la noix de muscade pour sa finesse et son intensité, la noisette et l’amande torréfiées, une pointe de café, réminiscence de parfums enveloppants et rassurants. Des notes zestées d’agrumes mûrs dynamisent l’aromatique de ce millésime.

    En bouche

    À la fois riche et tendu, Dom Ruinart 2010 est séveux, expressif et concentré. Il s’impose avec une grande intensité aromatique. Des arômes de feuille de figuier se mêlent à des notes de thé noir et d’épices fraîches (baies de sil timur, mahaleb). Au palais, la matière se développe et persiste, à la fois ferme et dirigée. Le vin se prolonge avec une finale sous le signe de la fraîcheur relevée par une élégante amertume. Une sensation séveuse et tactile se dégage du Dom Ruinart Blanc de Blancs 2010, un grand vin de chardonnay.

    Accords mets & champagnes

    Un service à une température de 10 à 12°C, dans de grands verres à dégustation de type Lehmann 45cL Jamesse, ou des verres à vin blanc en sublimeront la complexité.
    Les saveurs soutenues du millésime 2010, alliées à une intense fraîcheur, offrent de nombreuses perspectives d’accords qui mêlent savoir-faire et modernité :
    • Filet de cochon noir du Périgord, macis de muscade, topinambour, filet d’huile de livèche & copeaux de châtaignes toastées
    • Homard bleu de Bretagne fumé aux sarments de vignes et épines de sapin, pétales de daïkon, sauce crémeuse aux algues wakamé & zestes de citron
    • Poireau en différentes textures (brûlé, frit, en purée), sabayon de pomme de terre & truffe.

    Température de service idéale

    À servir entre 10 et 12 °C.

    Potentiel de garde

    Son potentiel de vieillissement peut aller jusqu’à 10 ans et bien plus en fonction des conditions de stockage.

    Assemblage :
    Assemblage 100% Chardonnay, issu à 90% de la Côte des Blancs (Le Mesnil-sur-Oger, Avize, Chouilly & Cramant) et 10% du versant nord de la Montagne de
    Reims (Sillery).
    Vinification :
    • Vendanges manuelles
    • Fermentation alcoolique en cuves inox thermorégulées
    • Fermentation malolactique
    • Tirage liège
    • Entreillage manuel
    • Minimum 9 ans de vieillissement sur lattes
    • Dégorgement manuel.

    Le tirage sous liège :
    Si après le tirage, les levures consomment rapidement l’oxygène enfermé dans les bouteilles, des échanges faibles et lents entre le gaz carbonique qui s’en échappe et l’oxygène qui y entre, s’effectuent tout au long du vieillissement. Un contact d’autant plus critique que sur un temps long, cette entrée d’oxygène modifie significativement le profil organoleptique du vin, altérant la fraicheur aromatique recherchée par la Maison Ruinart, a fortiori pour un Blanc de Blancs vieilli dix ans en cave. La maitrise de ces échanges gazeux sont essentiels pour aboutir à l’élaboration du vin recherché.
    Dom Ruinart 2010 marque une étape majeure dans le contrôle de ces échanges, avec le retour d’une pratique autrefois en usage : le tirage-liège. À la fin des années 1990, guidé par une intuition, le chef de caves décide de laisser vieillir sous liège une partie de la production des flacons de Dom Ruinart 1998. Au lieu des capsules métalliques communément utilisées, il opte pour des bouchons de liège. Puis il laisse comme à son habitude, le temps faire son oeuvre. En 2008, à la dégustation, la différence est significative : les flacons bouchés liège donnent des vins plus tendus avec une couche de complexité supplémentaire. Certes, ce matériau est poreux, mais sur une longue durée, demeure formidablement stable. Plus que la capsule métallique qui laisse de l’oxygène passer de manière constante et régulière tous les ans.
    La preuve est faite, le paradigme a changé. Les prochaines cuvées Dom Ruinart profiteront de cette connaissance. Science, expérimentation et tradition s’accordent sur un matériau aussi noble qu’écologique puisqu’il a la capacité après une première levée, qui a lieu 23 ans après la plantation, de se régénérer entièrement tous les neufs ans.
    Dosage :
    4 g/litre

    Vous pourriez aimer également

    12