Étiquette : Paris
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Taste of Paris, le Festival des Chefs, ouvre ses portes
Le panier pique-nique Veuve Clicquot x Jean Imbert
Un vent nouveau souffle à la Fontaine Gaillon
Vous prendrez bien un Tea Time au champagne ?
IDA par Denny Imbroisi, déclaration d’amour à l’Italie et à la gastronomie
Bar à ciel ouvert by Krug au Shangri-La Hotel
Un vent de fraîcheur souffle sur l'Apicius
Apicius, 1 étoile Michelin, à Mathieu Pacaud, jeune Chef mais néanmoins déjà très expérimenté (lire notre article > Mathieu Pacaud étoilé par le Guide Michelin pour son restaurant Divellec). Associé à Laurent de Gourcuff, PDG de Noctis, le Chef de 37 ans promet de faire souffler un vent nouveau sur cet établissement prestigieux.
Un vent de fraîcheur
Le restaurant Apicius, une institution, est situé rue d’Artois, non loin des Champs-Elysées. Ce temple de la gastronomie française est un havre de paix au coeur de l’un des quartiers les plus animés de Paris.
L’architecte d’intérieur François-Joseph Graf a totalement réinventé le décor de ce somptueux hôtel particulier du 18ème siècle. Dans un esprit trompe-l’oeil amusant, la nouvelle décoration n’a rien perdu de son raffinement. Le carrelage noir et blanc est en réalité une moquette moelleuse, les boiseries, lambris et plafond sont en réalité peints, le tout est rehaussé par des imprimés sauvages. Alliant modernité et héritage du passé, l’Apicius nouvelle version offre une atmosphère chic et conviviale.
La cerise sur le gâteau ? La fabuleuse terrasse, nichée dans le jardin verdoyant de l’hôtel particulier. On en oublierait presque que l’on se trouve à Paris.
Côté cuisine ?
Assumant l’héritage hautement gastronomique du lieu, Mathieu Pacaud revisite ici les classiques du genre, entre sophistication et simplicité : gaspacho ultra frais aux petits pois et émulsion curry, langoustines au caviar golden et fenouil anisé, turbot sauvage ou encore ris de veau de lait.
À la pâtisserie, dans le même élan, Jérôme Chaucesse signe son grand retour avec une pâtisserie généreuse, gourmande et enjouée ! Vous pourrez notamment y déguster un fabuleux vacherin, copeaux meringués et sorbet noix de coco, fraises des bois et atsina.
Côté champagnes ?
Apicius fait confiance à la maison Thienot. À la carte, vous retrouverez notamment l’incontournable cuvée Thiénot Brut, un champagne d’harmonie, incarnation du style Thiénot, conjuguant qualité et exception.
Site Officiel : Apicius
Adresse et réservations : 20 Rue d’Artois, 75008 Paris | T : + 33 (0) 1 43 80 19 66
> Retrouvez les champagnes Thiénot sur Champmarket
Crédits Photo Restaurant Apicius]]>
Yam'Tcha, un voyage des sens
Simplicité et finesse définissent le restaurant Yam’Tcha, 1 étoile au Guide Michelin. La jeune Chef Adeline Grattard y propose une cuisine sereine mêlant des accents français aux influences asiatiques, dont le menu change tous les jours, selon l’arrivage des produits. Formée auprès du Chef Pascal Barbot (L’Astrance) puis pendant plusieurs années à Hong Kong, sa cuisine nous surprend par des accords inédits, alliance de produits d’une extrême qualité : langoustine aux oignons et pamplemousse, soupe de crustacés aux nems de légumes, saint-jacques aux épinards et kumquats au bouillon d’agrumes, faisselle de chèvre au choux banane et pomme granny… un voyage des sens !
La cuvée Esprit de Victoria Blanc de Blancs Millésimé 2010 Extra Brut est un grand vin de Champagne, subtil, 100% Chardonnay, qui s’exprime de manière originale et sans fard.
Le Baudelaire, chic parisien
Le Baudelaire, le restaurant étoilé de l’Hôtel Burgundy Paris, ouvert sur un patio tranquille, offre un havre de paix agréable et chic ! Le Chef Guillaume Goupil y propose une cuisine gastronomique dans la tradition parisienne.
Le Baudelaire met à l’honneur couleurs et saveurs. Chaque produit est travaillé avec délicatesse et précision, pour offrir ce qu’il a de plus noble et de plus goûteux. Le contenu de la carte est renouvelé au fil des saisons, revisité au gré des produits qu’elles offrent. Le Chef Exécutif Guillaume Goupil sélectionne les meilleurs produits qu’il sublime selon ses envies et les tendances du moment.
Les desserts, imaginés par le talentueux Chef Pâtissier Pascal Hainigue, sont là pour prolonger l’expérience. Autour de spécialités légères, mais aussi autour des classiques de la pâtisserie française.
Côté Champagne ? La carte proposée est à la hauteur du lieu ! Nous retrouvons les cuvées de la Maison Joseph Perrier, dont le style sied parfaitement à la recherche d’excellence du restaurant Le Baudelaire.
Les cuvées à la carte :
Joseph Perrier Blanc de Blancs : Un 100% Chardonnay issu des meilleurs crus de la maison. Un champagne fin, délicat, nuancé en saveur, porté par de fines bulles.
Joseph Perrier Rosé : Un champagne vineux et élégant. Cette magnifique cuvée demeure sur un registre de champagne de gastronomie corsé et distingué.
Joseph Perrier Esprit de Victoria Rose 2005 : Un champagne d’une longueur remarquable, naturellement sucrés et aromatiques, les pinots noirs frais et structurés.
Louis Roederer mécène de l'exposition Kupka au Grand Palais
Fondation Louis Roederer accompagne les expositions du Grand Palais depuis 2013, à la suite de la restauration de la Galerie Sud-est consacrée à la photographie et à l’art contemporain. Cette année, la Fondation a choisi de soutenir l’exposition Kupka : Pionner de l’abstraction. La rétrospective exceptionnelle proposée par le Grand Palais du 21 mars au 30 juillet 2018 retrace le parcours de František Kupka, de ses débuts marqués par le symbolisme et son évolution progressive vers l’abstraction dont il sera l’un des pionniers. 300 peintures, dessins, gravures, livres et documents redonnent vie à l’artiste et dévoilent sa personnalité engagée et singulière.
Le mécénat, une vocation pour Louis Roederer
Le mécénat de Louis Roederer est né de sa recherche de l’œuvre, l’ambition de créer un vin qui, au-delà du plaisir du palais, recèle un équilibre, suscite une émotion. Cette recherche est avant tout matérielle : la terre, la vigne, le raisin, le bois, l’assemblage, le temps.… Mais elle comporte aussi une part immatérielle. Au champagne que nous dégustons, nous associons forcément des images, un style, un esprit.
C’est la raison pour laquelle, en 2003, Jean-Claude Rouzaud, puis son fils Frédéric, successivement Directeurs Généraux de Louis Roederer, ont décidé, avec l’aide de Michel Janneau, Directeur Général adjoint, d’engager la Maison dans le monde de la culture et de l’art.
Il s’agit bien d’un acte au cœur de la vocation de Louis Roederer : nourrir la valeur immatérielle de ses vins.La Fondation Louis Roederer a pour objectif de soutenir la création artistique contemporaine en facilitant sa rencontre avec le public. Sa mission est donc de participer au rayonnement artistique contemporain, en particulier la photographie et la littérature, et plus généralement la rencontre entre les images et les mots, entre la beauté et le sens.
La Fondation continuera de privilégier cette aide à l’art « cultivé » , porteur de sens, de préférence aux expressions purement formelles, faisant écho à la recherche d’une « intelligence » du vin qui, au-delà du pur plaisir, procure le sentiment d’un accord entre l’esprit et les sens. Kupka, pionnier de l’abstractionFrantišek Kupka est le premier artiste en France à faire le pas, et passer de l’Art nouveau à l’abstraction. Durant ses quatre-vingt-cinq années de vie, il aura vu de nombreux bouleversements de l’art, du symbolisme au pop art, en passant par l’impressionnisme, le cubisme, et bien sûr l’art abstrait, mais toujours en gardant son indépendance et sa liberté.
[caption id="attachment_6967" align="aligncenter" width="247"]Akrame, aubergiste contemporain et étoilé !
“Nourrir les plus grandes ambitions, mais ne jamais oublier d’où l’on vient” telle est la devise d’Akrame Benallal, jeune chef prometteur à la tête du restaurant éponyme Akrame, 1 étoile au Guide Michelin. Dans l’assiette, le chef assume son statut d’aubergiste contemporain au fil d’un menu bien troussé, faisant preuve d’une grande inventivité pour donner le meilleur de produits d’excellente qualité.
Né en France, il grandit en Algérie où il associe la cuisine et l’amour. Sa conviction d’aujourd’hui est de prouver que la cuisine est affaire de sentiments, de travail et de volonté.
En 2004, il pose sa candidature pour travailler une saison chez Ferran Adria. Toutefois, il n’en ressort pas avec un savoir supplémentaire sur la cuisine. Alors, il se pose la question suivante : “Est-ce la technique qui entraîne la création, ou bien le produit qui sollicite l’imagination ?”
Un an plus tard, on le retrouve à Tours où il reprend le Trendy devenu L’Atelier d’Akrame. Ces débuts sont remarqués et lui permettent de remporter en 2011 le Prix Gastronomique de la Révélation culinaire de l’année ainsi que le prix du Grand de demain 2011 décerné par le guide Gault & Millau.
En 2011, il ouvre son premier établissement Akrame situé rue de Lauriston à Paris dans le 8ème arrondissement.
Quand l’éphémère devient définitif…
En 2016, en attendant la fin des travaux de rénovation de son premier établissement parisien, le Chef ouvre un nouveau concept éphémère, le Pop-up restaurant, situé également dans le 8ème arrondissement de Paris. Voisin du célèbre hôtel de Pourtalès, l’endroit lui plait et lui ressemble en tous points, il décide alors d’y installer définitivement son restaurant.
Le chef, Akrame Benallal, conserve la carte qui avait été créée spécialement pour le Pop-Up, afin de pouvoir étaler son talent sans changer sa caractéristique principale : la surprise.
Pour le Chef Akrame, le restaurant est le lieu de réconciliation entre les gens et les saveurs. Il prête importance à tous les détails. “Je me vois comme un aubergiste contemporain.”Le décor…
Situé à deux pas de la Madeleine, le lieu est protégé des regards. On accède à l’entrée du restaurant par une porte cochère, après avoir traversé la cour ornée d’oeuvres d’art. Le lieu est dominé par le noir et résolument contemporain. On y trouve des photographies, et, au plafond, une étonnante sculpture d’un homme qui tombe… le décor du restaurant est à l’image de son Chef : continuellement surprenant !
Côté cuisine…
Dans l’assiette, le chef assume son statut d’aubergiste contemporain, et l’on retrouve ici une bonne partie de ce qui avait fait le succès de sa précédente adresse, rue Lauriston. Au fil d’un menu unique bien troussé, il fait preuve d’une grande inventivité pour donner le meilleur de produits d’excellente qualité ; les assiettes sont travaillées avec beaucoup de soin. Son travail est reconnu avec l’obtention de sa 1ère étoile au Guide Michelin en 2017.
“Pour moi, il n’y a pas d’échecs. Soit je gagne, soit j’apprends”. Mais comme on l’imagine, le succès est au rendez-vous !